Sainté n’a jamais autant rimé avec créativité. Et c’est peu de la dire. Aujourd’hui,on part à la découvert d’AUUNA, une bande de potes qui pourrait bien vous surprendre. Rencontre avec l’un d’entre eux, le polyvalent et sympathique Geoffrey. Il nous parle de ces créations, de ces projets et du marché de l’audiovisuel à Saint Etienne.
Yann : Commençons donc par le point de départ pourrais-tu te présenter à nos lecteurs ? Qui est tu et que fais-tu ?
Je m’appelle Geoffrey Saint-Joanis et je travaille pour une boite de prod et une agence de presse du nom d’AUUNA
Y : AUUNA !? Mais ça veut dire quoi ?
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Y : Présente-nous les autres membres de ton équipe
Avec moi il y’a Laurent Gibert
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…. Et Alexandre Fournel
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Y : Le concept de boite de production on connaît tous un peu, mais en tant qu’agence de presse vous faite quoi ? Quelles sont vos missions ?
G : Au départ, on a voulu mélanger toutes nos compétences avec mes deux collègues. Je suis journaliste de base tandis qu’eux sont dans l’image et la communication. On a commencé en faisant pas mal d’articles, pour différents magazines (Impact magazine par exemple). Je suis d’ailleurs parti en Ukraine durant la guerre et en Islande pour des reportages. Mais aujourd’hui, c’est notre deuxième mission (l’audiovisuel) qui prime. On continue notre partie presse, plus épisodiquement, principalement en vidéo.
Y : Alors justement, parle nous de la partie production.
G : C’est assez polyvalent, on a une partie vidéo d’entreprise. On a commencé avec E- Ophtalmo (une start-up stéphanoise de télémédecine créée par un ingénieur et un ophtalmologiste). A côté de ça, on filme tous les concerts du Pax et on commence à travailler avec Le Fil. Ces derniers nous ont d’ailleurs commandé une émission pour montrer les coulisses de la salle.
La Secret Live Session
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Y: Quel a été le point de départ de tout cela ?
G: Au départ j’étais à Lyon, je travaillais dans un magazine (Le Journal International) et après trois années de bons et loyaux services en tant que rédacteur en chef je suis parti. Je voulais aller sur le terrain et je suis revenu à Saint Etienne. Avec Alexandre, que je connaissais depuis plusieurs années, on a voulu monter quelques choses ensemble qui mélangerait nos aptitudes. Laurent qui n’était pas du tout dans l’audiovisuel nous a rejoint dans cette aventure. Au final, mes compétences de journaliste on fait de moi, d’une certaine manière, le communicant de AUUNA. Alexandre est notre spécialiste image et son, tandis que Laurent c’est notre bilingue. Durant l’un de nos reportages en Suède il traduisait les interviews et a réalisé le sous-titrage. On avait tout à y gagner de tenter notre chance. A Saint Étienne, une initiative comme la nôtre n’existait pas vraiment.
Y : Le marché de l’audiovisuel à Sainté ça se présente comment ?
G : A l’inverse de Lyon, le marché ici est assez libre. On connaît tous les pontes de l’audiovisuel en ville (Ciel ! Les noctambules…). Mais nous ne sommes pas sur le même créneau, on se consacre aux documentaires, aux concerts, ou encore aux films d’entreprise. Au final, on n’embête personne ! On chercherait plutôt à allier nos compétences avec les autres collectifs.
Y : Une ville dynamique dans l’audiovisuel en somme
G : Clairement, peut-être pas autant que Lyon mais il y’a toujours quelque chose entre les concerts, les projections dans les bars ou les soirées des associations. C’est plus underground et finalement sa correspond bien à AUUNA.
Y : Des projets en cours ?
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Geoffrey nous a confié en plus quelques travaux finalisés :
Un Dernier Mot ?
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Merci Geoffrey !
Yann R
Infos Pratiques :
AUUNA